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Examen de compétences

Mise à jour COVID-19 — Examen de com­pé­tence de la CCI

Mise à jour COVID-19 - Examen de compétence de la CCI

En avril 2021, j’a­vais écrit dans le bil­let de blog “Est-ce qu’il y a actu­el­le­ment des examens de com­pé­tence à la CCI à cau­se de Coro­na ?“Le mois der­nier, nous vous avi­ons infor­mé de la situa­ti­on actu­el­le con­cer­nant l’or­ga­ni­sa­ti­on des examens de la CCI. Pen­dant un cer­tain temps, les examens étai­ent annulés ou repor­tés. Un régime d’hy­giè­ne très strict était en vigueur.
Après les ter­gi­ver­sa­ti­ons de la poli­tique en matiè­re de mesu­res de pro­tec­tion Covid et de règles dif­fé­ren­tes, par­fois dif­fi­ci­le­ment com­pré­hen­si­bles d’un point de vue fac­tuel, une gran­de par­tie des direc­ti­ves anté­ri­eu­res ont ent­re-temps été abro­gées dans la plu­part des Länder.

Si vous avez été tes­té posi­tif au SRAS-CoV‑2 et que la date de vot­re examen appro­che, le mieux est de vous rens­eig­ner auprès de la CCI com­pé­ten­te sur la pro­cé­du­re actu­el­le­ment pos­si­ble. Il est pos­si­ble de se reti­rer de l’ex­amen et de se pré­sen­ter à nou­veau à une date ulté­ri­eu­re ou, selon l’É­tat fédé­ral, de se pré­sen­ter sous cer­tai­nes con­di­ti­ons de protection.

Remar­que : tou­tes les don­nées sont sans garan­tie (état au 20.11.2022). Veuil­lez tenir comp­te des direc­ti­ves actu­el­les de la chambre de com­mer­ce et d’in­dus­trie ou de l’É­tat fédé­ral qui orga­ni­se l’examen !

Pour­quoi tant de par­ti­ci­pan­ts échou­ent-ils à l’ex­amen de com­pé­tence ? (§ 34a GewO)

Pourquoi tant de participants échouent-ils à l'examen de compétence ? (§ 34a GewO)

Quel­les sont les rai­sons pour les­quel­les tant de can­di­dats échou­ent à l’ex­amen d’ex­per­ti­se de la CCI dans le sec­teur de la surveillance ?

C’est la ques­ti­on que se posent éga­le­ment Jörg Zitz­mann et Kai Delio­mi­ni dans le recom­man­da­ble Pod­cast sur la pro­tec­tion et la sécu­ri­té (vidéo ci-dessous !).

Aus­si bien Jörg Zitz­mann ain­si que Kai Delio­mi­ni sont très con­nus dans le sec­teur de la sécu­ri­té privée.
Ils sont tous deux mem­bres de jurys d’ex­amen de la Chambre de com­mer­ce et d’in­dus­trie dans le domaine de la pro­tec­tion et de la sécu­ri­té, auteurs de liv­res de pré­pa­ra­ti­on à l’ex­amen d’ex­per­ti­se et prés­ents sur You­Tube et dans des pod­casts avec de nombreu­ses vidé­os utiles.

Une per­son­ne sur deux ou trois échoue à l’ex­amen 34a !

Avec des taux d’é­chec assez fré­quents, com­pris ent­re 30 et 50%, la ques­ti­on se pose natu­rel­le­ment : à quoi cela est-il dû ?
Cer­ta­ins fac­teurs de réus­si­te ou d’é­chec sont évi­dents. Cer­ta­ins pro­blè­mes peu­vent être réso­lus rapi­de­ment et faci­le­ment, d’au­t­res néces­si­tent sim­ple­ment un app­ren­tis­sa­ge inten­sif, de la pra­tique et de la per­sé­vé­rance. Avant d’é­vo­quer plus loin ce que je con­sidè­re com­me les prin­ci­paux fac­teurs de (dys)réussite, voi­ci la très inté­res­san­te dis­cus­sion ent­re Jörg Zitz­mann et Kai Delio­mi­ni sur YouTube :

Mon top 5 des rai­sons pour les­quel­les tant de per­son­nes échou­ent à l’ex­amen de con­nais­sances pro­fes­si­on­nel­les écrit et oral de la CCI

D’a­près mon expé­ri­ence, les fac­teurs sui­vants con­sti­tu­ent les prin­ci­pa­les rai­sons d’un échec pour le “per­mis 34a” :

  1. Man­que de moti­va­ti­on / man­que d’intérêt
    De nombreux par­ti­ci­pan­ts ne voi­ent aucu­ne valeur ajou­tée dans l’ex­amen. Ils ne s’in­té­res­sent pas vrai­ment au con­tenu de l’ex­amen et ne veu­lent donc pas en app­rend­re davan­ta­ge. Ce phé­nomè­ne est par­ti­cu­liè­re­ment mar­qué chez les per­son­nes “envoy­ées” par leur employ­eur ou par l’a­gence pour l’em­ploi et qui ne s’in­té­res­sent en fait pas du tout au sec­teur de la sécu­ri­té pri­vée. Mais même si la par­ti­ci­pa­ti­on est en soi une démar­che volon­tai­re : L’ex­amen n’est sou­vent pas per­çu com­me une chan­ce, mais com­me un mal néces­saire. Or, le man­que de moti­va­ti­on et d’in­té­rêt est dia­mé­tra­le­ment oppo­sé à la réus­si­te de l’examen.
  2. Pré­pa­ra­ti­on insuf­fi­san­te du contenu
    Cer­ta­ins pren­nent l’ex­amen à la légè­re. Des ques­ti­ons à choix mul­ti­ples avec des répon­ses pré­dé­fi­nies à cocher et seu­le­ment 50% de bon­nes répon­ses néces­saires pour réus­sir — qu’est-ce qui pour­rait mal tour­ner, se deman­de-t-on. Mais c’est loin d’êt­re le cas. Les thè­mes juri­di­ques sont par­ti­cu­liè­re­ment dif­fi­ci­les. A cela s’a­jou­tent l’ex­ci­ta­ti­on, en par­ti­cu­lier lors de l’ex­amen oral, et des ques­ti­ons qui néces­si­tent de réflé­chir un peu dans les coins. Celui qui n’a pas les con­nais­sances néces­saires et donc la sécu­ri­té d’ac­tion se cata­pul­te rapi­de­ment vers l’é­chec. Une pré­pa­ra­ti­on com­plè­te est essen­ti­el­le pour réus­sir l’examen !
  3. Con­nais­sances insuf­fi­san­tes de l’allemand
    Beau­coup de cho­ses ont déjà été dites et deman­dées au sujet des con­nais­sances en alle­mand. Il est cer­tain que de nombreu­ses per­son­nes tra­vail­lent dans le sec­teur de la sécu­ri­té sans être de lan­gue mate­r­nel­le alle­man­de. Le mul­ti­l­in­gu­is­me est sou­vent important pour le tra­vail, mais des con­nais­sances suf­fi­san­tes en alle­mand le sont tout autant. En effet, l’ex­amen est pro­po­sé exclu­si­ve­ment en alle­mand et vous devez éga­le­ment pou­voir com­mu­ni­quer avec assu­rance en alle­mand au quo­ti­di­en en tant qu’agent de sécu­ri­té. Les tex­tes juri­di­ques sont rédi­gés dans un lan­ga­ge dif­fi­ci­le, l’al­le­mand des fon­c­tion­n­aires est sou­vent tout aus­si dif­fi­ci­le à com­prend­re et les ques­ti­ons d’ex­amen dépen­dent par­fois de quel­ques mots qui peu­vent chan­ger le sens dans un sens ou dans l’aut­re ou don­ner des indi­ca­ti­ons de solution.
  4. La struc­tu­re et les moda­li­tés de l’ex­amen ne sont pas claires
    Pour beau­coup, le cad­re de l’ex­amen n’est pas tota­le­ment clair. Mais ce n’est qu’en sach­ant quels sujets sont importants et com­ment l’ex­amen est struc­tu­ré que l’on peut s’y prépa­rer de maniè­re ciblée et effi­cace. Ain­si, il y a des sujets sur les­quels on peut pas­ser rapi­de­ment, aux­quels on peut géné­ra­le­ment répond­re avec du bon sens. En revan­che, cer­ta­ins sujets compt­ent dou­ble et d’au­t­res néces­si­tent un app­ren­tis­sa­ge plus inten­sif. A cela s’a­jou­tent des valeurs empi­ri­ques con­cer­nant l’ex­amen oral et des con­seils tac­ti­ques pour le trai­te­ment des ques­ti­ons d’ex­amen, qui dev­rai­ent par exemp­le être trans­mis par un pro­fes­seur ou un auteur compétent.
  5. Des con­di­ti­ons indi­vi­du­el­les difficiles
    Bien sûr, les gens sont dif­fér­ents. Chacun appor­te des con­di­ti­ons per­son­nel­les dif­fé­ren­tes et les con­di­ti­ons géné­ra­les (par exemp­le les obli­ga­ti­ons fami­lia­les, le temps lib­re pour l’app­ren­tis­sa­ge, l’en­vi­ron­ne­ment d’app­ren­tis­sa­ge, etc.) jouent éga­le­ment un rôle important dans la réus­si­te ou l’é­chec. Vous con­nais­sez peut-être des per­son­nes qui mémo­ri­sent les cho­ses en les regar­dant rapi­de­ment et qui peu­vent les rap­pe­l­er en un cla­quement de doigts. Pour d’au­t­res, c’est beau­coup plus dif­fi­ci­le. Cer­tai­nes per­son­nes n’ont aucun pro­blè­me à par­ler devant d’au­t­res per­son­nes en situa­ti­on d’ex­amen, la plu­part sont bien sûr ten­dues, cer­ta­ins par­ti­ci­pan­ts souf­frent même d’u­ne véri­ta­ble peur de l’examen.

Deman­dez-vous dans quel­le mesu­re les points ci-des­sus s’ap­pli­quent à vous, com­ment vous pou­vez évi­ter les err­eurs de pré­pa­ra­ti­on et com­pen­ser les éven­tu­el­les lacu­nes. Vous trou­verez direc­te­ment sur le por­tail d’in­for­ma­ti­on sur les com­pé­ten­ces de nombreux con­seils et Liens vers d’au­t­res sites ou médi­as tels que You­Tube.


Con­seils de lec­tu­re actuels sur l’ex­amen de com­pé­tence 34a :

Est-ce qu’il y a actu­el­le­ment des examens de com­pé­tence à la CCI à cau­se de Corona ?

Est-ce qu'il y a actuellement des examens de compétence à la CCI à cause de Corona ?

La ques­ti­on de savoir si des tests 34a sont actu­el­le­ment effec­tués en rai­son de la pan­dé­mie est brûlante

En l’é­tat actuel des cho­ses, les cham­bres de com­mer­ce et d’in­dus­trie (CCI) ten­tent de main­te­nir les dates d’ex­amen existan­tes. Oui ! les examens ont géné­ra­le­ment lieu. Il peut tou­te­fois y avoir des écarts, car en prin­ci­pe, chaque chambre peut déci­der elle-même si un examen doit être effec­tué, sup­p­ri­mé sans être rem­pla­cé ou repor­té. Dans le cas de la cri­se coro­na­ri­en­ne actu­el­le, cela dépend éga­le­ment de la valeur d’in­ci­dence régio­na­le, des exi­gen­ces léga­les actu­el­les et des décis­i­ons politiques.

Plans de pandémie/concepts d’hy­giè­ne et direc­ti­ves de la CCI

La plu­part des cham­bres dis­po­sent de con­cepts d’hy­giè­ne qui défi­nis­sent les con­di­ti­ons dans les­quel­les les examens peu­vent être réalisés.
Pour de nombreu­ses cham­bres, les règles sui­van­tes s’ap­pli­quent (sans garantie) :

S’in­for­mer sur l’actualité !

La règ­le res­te valable : Rens­eig­nez-vous direc­te­ment auprès de la chambre de com­mer­ce et d’in­dus­trie qui orga­ni­se l’ex­amen pour savoir ce que vous devez respec­ter. — si, par exemp­le, une atte­sta­ti­on doit être pré­sen­tée ou si des chan­ge­ments de der­niè­re minu­te sont inter­ve­nus. Le site Inter­net de la CCI con­cer­née (mot-clé Actua­li­tés / Coro­na) four­nit ici rapi­de­ment des infor­ma­ti­ons substantielles.

Peut-on pas­ser l’ex­amen de com­pé­tence dans une aut­re langue ?

Peut-on passer l'examen de compétence dans une autre langue ?

Non. Pas­ser l’ex­amen 34a n’est pos­si­ble qu’en allemand.

Examen de com­pé­tence en matiè­re de sur­veil­lan­ce bien­tôt en rus­se, ara­be ou anglais

On m’a déjà sou­vent deman­dé si l’ex­amen de com­pé­tence selon le § 34a GewO pou­vait être pas­sé dans une aut­re lan­gue — com­me c’est le cas pour l’ex­amen du per­mis de con­dui­re qui, en Alle­ma­gne, se déroule ent­re aut­res en ang­lais, fran­çais, grec, ita­li­en, croa­te, polo­nais, por­tu­gais, rou­main, rus­se, espa­gnol et turc. Ce n’est pas pos­si­ble pour l’ex­amen de compétence !
Et c’est à mon avis une bon­ne cho­se. En effet, si les règles de la cir­cu­la­ti­on rou­tiè­re sont assez simi­lai­res dans l’UE, par exemp­le en ce qui con­cer­ne l’ap­pa­rence et la signi­fi­ca­ti­on des pan­neaux de signa­li­sa­ti­on, c’est plus déli­cat dans le domaine de la sécu­ri­té pri­vée. D’u­ne part, il faut pou­voir se dépla­cer avec une gran­de assu­rance à tra­vers les nor­mes juri­di­ques, c’est-à-dire con­naît­re en détail les lois et les règle­ments per­tin­ents du pays. D’aut­re part, on a tou­jours affai­re direc­te­ment aux gens et la com­mu­ni­ca­ti­on repré­sen­te un fac­teur essentiel dans les rela­ti­ons avec les aut­res, par exemp­le pour la déses­cala­de. Sans par­ler du fait que les tex­tes juri­di­ques alle­mands sont par­fois dif­fi­ci­les à com­prend­re sur le plan lin­gu­is­tique, la lan­gue a aus­si ses sub­ti­li­tés dans la pra­tique. Il est donc tout à fait logi­que de pou­voir com­mu­ni­quer dans la lan­gue du pays dans lequel on effec­tue son tra­vail. Bien enten­du, les con­nais­sances en lan­gues étran­gè­res sont éga­le­ment très importan­tes, si l’on pen­se par exemp­le à des évé­ne­ments avec un public inter­na­tio­nal, com­me des fes­ti­vals ou des salons. Le mul­ti­l­in­gu­is­me est un atout majeur dans le sec­teur de la sécurité.

 

A‑t-on beso­in d’u­ne preuve que l’on par­le suf­fi­sam­ment bien l’al­le­mand pour se pré­sen­ter à l’IHK ?

Lan­gue alle­man­de, lan­gue dif­fi­ci­le — c’est un dic­ton bien con­nu. L’expé­ri­ence mont­re que les per­son­nes dont la lan­gue mate­r­nel­le n’est pas l’al­le­mand ont par­ti­cu­liè­re­ment du mal à réus­sir l’ex­amen de com­pé­tence selon le § 34a GewO du pre­mier coup. Cela s’ex­pli­que notam­ment par le fait que les ques­ti­ons d’ex­amen ne sont pas tou­jours faci­les à com­prend­re. Il con­vi­ent donc, d’u­ne part, de bien se prépa­rer à l’ex­amen en ter­mes de con­tenu et, d’aut­re part, de dis­po­ser d’un cer­tain niveau de con­nais­sances lin­gu­is­ti­ques issues de la vie quo­ti­di­en­ne ain­si que de la lan­gue spé­cia­li­sée (ter­mes juri­di­ques, ter­mes tech­ni­ques du domaine de la sécu­ri­té, etc. Jus­qu’à pré­sent, les con­nais­sances lin­gu­is­ti­ques ne sont pas une con­di­ti­on d’ad­mis­si­on.. Cela signi­fie que vous n’a­vez pas beso­in de pré­sen­ter un cer­ti­fi­cat de lan­gue ou une preuve simi­lai­re pour pou­voir par­ti­ci­per à l’ex­amen de compétence.

 

Aides pour les par­ti­ci­pan­ts de lan­gue étran­gè­re aux cours de cul­tu­re générale

Si vous êtes nou­vel­le­ment arri­vé en Alle­ma­gne et que vous ne par­lez pas enco­re très bien l’al­le­mand, il est défi­ni­ti­ve­ment judi­cieux de par­ti­ci­per à un cours de lan­gue, même pour vous prépa­rer à l’ex­amen de la Chambre de com­mer­ce et d’in­dus­trie. Sou­vent, les uni­ver­si­tés popu­lai­res (VHS) pro­po­sent des cours de lan­gue. L’Of­fice fédé­ral pour la migra­ti­on et les réfu­giés (BAMF) encou­ra­ge en out­re la par­ti­ci­pa­ti­on à des cours de lan­gue ou d’in­té­gra­ti­on. De plus, les appli­ca­ti­ons d’app­ren­tis­sa­ge et bien sûr l’uti­li­sa­ti­on de la lan­gue alle­man­de au quo­ti­di­en peu­vent être très uti­les. Lexi­ques avec ter­mes tech­ni­ques pour le sec­teur de la sécu­ri­té sont dis­po­nibles dans le commerce.

Pas­ser l’ex­amen de com­pé­tence selon le § 34a Gewo mal­gré la cri­se de Corona

Passer l'examen de compétence selon le § 34a Gewo malgré la crise de Corona

Ces der­niers mois, les examens de com­pé­tence selon le § 34a GewO (sur­veil­lan­ce) ont été annulés en rai­son de la cri­se de la Coro­na (COVID-19). Désor­mais, les examens ont à nou­veau lieu à la Chambre de com­mer­ce et d’in­dus­trie (IHK). Pour tous ceux qui se sont inscrits à temps ou dont la date a été repor­tée, l’ex­amen écrit aura lieu demain, le 18 juin 2020. Des dis­po­si­ti­ons par­ti­cu­liè­res sont actu­el­le­ment en vigueur dans de nombreux end­roits pour la par­ti­ci­pa­ti­on à l’ex­amen, par exemple

Vous trou­verez les dis­po­si­ti­ons exac­tes appli­ca­bles sur la lett­re de la CCI rela­ti­ve à l’ex­amen ou éga­le­ment sur le site Inter­net de la CCI concernée.
Je sou­hai­te beau­coup de suc­cès à tous ceux qui par­ti­ci­pe­ront à l’ex­amen de demain ! 

PS : Si vot­re examen, qui aurait dû avoir lieu en avril par exemp­le, a été annulé sans être rem­pla­cé, vous devez vous inscr­i­re pour une nou­vel­le date !
En rai­son de la for­te deman­de actu­el­le, il est con­seil­lé de s’in­scr­i­re à l’ex­amen le plus tôt pos­si­ble. Etant don­né que des inter­val­les mini­maux doi­vent être respec­tés, les places, déjà peu nombreu­ses, sont enco­re plus limi­tées. Vous trou­verez tou­tes les dates d’ex­amen sous https://www.sachkunde-34a.de/wann-termine-34a/

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